Atlas floristique de la Manche

Appel aux observateurs bénévoles
pour l’atlas floristique de la Manche

Après le Calvados puis l’Orne, le Conservatoire national botanique (CBN) de Brest va se pencher maintenant sur notre département. Il lance en 2018 le projet d’Atlas floristique de la Manche.

Toutes les personnes intéressées par les plantes sont donc sollicitées pour cette opération qui va faire progresser la connaissance sur la flore sauvage du département. C’est une occasion unique. Le responsable de l’animation de cette opération, Thomas Bousquet, nous précise : « tout relevé est bon à prendre : une donnée de pâquerette comme un inventaire complet d’une zone précise. Au sein de l’antenne Basse-Normandie, nous serons trois personnes à travailler sur le projet atlas : Timothée qui arrive à l’antenne sous peu nous prêtera main forte, Juliette et moi-même. Nous pourrons à l’occasion proposer des sorties terrain en notre compagnie cet été, n’hésitez pas à me dire si vous êtes intéressés ».

Sur le site du Conservatoire botanique (http://www.cbnbrest.fr/), deux applications :

  • eCalluna: pour voir où en sont les prospections déjà réalisées (par commune, par espèce)
  • Carnet de terrain: pour entrer vos propres données

Si vous n’avez pas encore participé, je rappelle qu’il n’est vraiment pas nécessaire d’être un spécialiste. Comment vous y prendre ?

1) Contactez Thomas (t.bousquet@cbnbrest.com) pour obtenir un compte de saisie en ligne (pour le Carnet en ligne).

2) Si vous avez des problèmes ou hésitations de détermination : je sais d’expérience que Thomas est toujours là pour vérifier ou apporter une détermination sur photo ou échantillon. Et heureusement pour moi. Vous pouvez donc lui envoyer des photos par mail.

3) Si vous souhaitez voir comment utiliser les deux applications (eCalluna et Carnet en ligne), je suis à votre disposition sur Coutances pour vous proposer une séance d’initiation et éventuellement une aide technique.

Et pour tous ceux d’entre nous qui ont déjà fourni des données, et qui connaissent donc le système, essayons d’intensifier cette année nos prospections.

N’hésitons pas, herborisons !

Alain Rongier

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