Suite à notre communiqué envoyé à la presse le 30 octobre dernier, voici ce qu’il en ressort dans le Ouest-France du 1er novembre 2014 : seulement deux phrases ont été reprises !
On notera que dans le titre de l’article, illégale est entre guillemets et que la « victime » est appelée par son prénom, invitant ainsi le lecteur à la compassion. L’auteur a choisi son camp !
Plutôt que le « selon le Conseil d’État », il aurait été plus juste de dire que le Conseil d’État a confirmé la décision de la Cour d’Appel de Nantes : les tribunaux ont dit la loi, la construction est illégale.
Enfin, essayer de justifier cette bergerie illégale, construite en connaissance de cause, en mettant en avant « la prolifération du chiendent maritime » ou un « célèbre chef étoilé parisien », là on essaye de rouler le lecteur dans la farine !
Est-ce cela de l’information objective résultant d’un vrai travail journalistique ?